Insolite en Suisse : En Suisse, le respect de la tranquillité et de la qualité de vie est une valeur fondamentale, et cela se reflète dans diverses réglementations et lois. L'une de ces lois concerne l'interdiction de laver sa voiture le dimanche. Cette règle peut sembler inhabituelle pour ceux qui ne sont pas familiers avec la culture suisse, mais elle s'inscrit dans une tradition plus large de respect du repos dominical.

Le dimanche, en Suisse, est généralement considéré comme un jour de repos et de détente. Les activités bruyantes et perturbatrices sont souvent limitées pour préserver la tranquillité de cette journée. Le bruit du lavage de voiture, notamment celui de l'eau sous pression et de l'aspirateur, est considéré comme trop dérangeant pour le voisinage, et c'est pour cette raison que cette activité est interdite le dimanche.

Cette interdiction s'applique non seulement aux stations de lavage de voitures, mais aussi au lavage des voitures à domicile. Les résidents sont encouragés à planifier le lavage de leur véhicule en conséquence, en évitant de le faire le dernier jour de la semaine. Ceux qui enfreignent cette règle peuvent être soumis à des amendes, bien que l'application de cette loi puisse varier en fonction des cantons et des municipalités.

Il est également intéressant de noter que cette interdiction n'est pas la seule restriction en vigueur le dimanche en Suisse. D'autres activités telles que tondre la pelouse, effectuer des travaux de bricolage bruyants ou organiser des événements bruyants sont également généralement interdites ce jour-là.

Ces règles reflètent l'importance accordée par la société suisse à la qualité de vie et au respect mutuel entre voisins. Elles contribuent à maintenir un équilibre entre la vie active et les moments de détente, en préservant la tranquillité du dimanche pour le bénéfice de tous.

Source de l'article: MY-SWISS

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Avoirs 2ème pilier: La caisse supplétive LPP détient actuellement des avoirs non réclamés d’une valeur d’environ 5,6 milliards de francs suisses. Bien que les bénéficiaires de ces fonds soient identifiés par l’institution, leur adresse n’est pas toujours disponible. Cependant, il est essentiel de noter que ces fonds ne sont pas oubliés ou perdus pour autant.

À la fin de l’année dernière, parmi les 1,4 million de comptes de libre passage gérés par la caisse supplétive LPP, environ 62% d’entre eux étaient enregistrés sans adresse. Cette situation représente un montant de 5,6 milliards de francs suisses, ce qui équivaut à environ 34% de l’ensemble des capitaux administrés par cette caisse, qui s’élèvent à 16,2 milliards de francs suisses.

Il est essentiel de souligner que l’absence d’adresse ne signifie pas que les comptes sont abandonnés, comme l’explique Séverine Jagmetti, porte-parole de la Fondation institution supplétive LPP. Dans la plupart des cas, les propriétaires des fonds sont finalement retrouvés. En effet, la fondation dispose généralement du numéro d’assurance sociale, du nom et de la date de naissance des propriétaires des comptes. Seule l’adresse fait défaut ou n’est plus à jour.

Pour retrouver ces fonds et en profiter, une recherche est possible afin de les placer auprès d’une Fondation en attendant leur retraite. Cette démarche est indispensable pour pouvoir bénéficier de leurs avoirs et ne pas les perdre.

Lorsqu’une personne quitte un emploi et ne trouve pas immédiatement un autre, les fonds de son 2e pilier peuvent être transférés sur un compte de libre passage auprès de la Fondation institution supplétive LPP, au plus tôt six mois après la fin du contrat de travail.

Il y a environ sept ans, la caisse supplétive LPP gérait des avoirs “oubliés” d’une valeur de 3,2 milliards de francs suisses. Aujourd’hui, cette somme a augmenté de 2,4 milliards de francs suisses. Selon Séverine Jagmetti, porte-parole de la fondation, cette augmentation est constante et proportionnelle à celle observée pour les comptes de libre passage.

Quant aux raisons expliquant pourquoi il y a de plus en plus de comptes sans adresse, la porte-parole ne peut avancer que des hypothèses. Cela pourrait être lié à la relative nouveauté du 2e pilier (mis en place en 1985), à la mobilité des travailleurs ou à la pratique de contrats de courte durée. La fondation ne dispose pas de données précises à ce sujet.

Il est également essentiel de noter que les montants de ces comptes sans contact sont relativement modestes, selon Séverine Jagmetti. Environ trois quarts des comptes contiennent un capital inférieur à 5000 francs suisses.

Source de l’article: 123Suisse

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Recrutement en Suisse : La Suisse est souvent confrontée à une pénurie de main-d’œuvre qualifiée, en particulier dans les domaines des technologies de l’information, de l’ingénierie, des sciences de la santé et de l’hôtellerie. Les entreprises suisses peuvent donc chercher à recruter des travailleurs qualifiés à l’étranger.

La Suisse possède une économie diversifiée avec des secteurs d’activités variés. Voici quelques-uns des principaux secteurs d’activités en Suisse :

1. Finance et banque : La Suisse est mondialement connue pour son secteur financier et abrite de nombreuses banques internationales, compagnies d’assurance et gestionnaires de patrimoine. Des services financiers tels que la gestion d’actifs, la banque privée, les services de financement des entreprises et la gestion des risques sont des domaines importants.
2. Industrie pharmaceutique et chimique : La Suisse est réputée pour son industrie pharmaceutique et chimique. De grandes entreprises pharmaceutiques internationales ont leur siège en Suisse et y mènent des activités de recherche, développement et production de médicaments et produits chimiques.
3. Ingénierie et technologies de l’information : La Suisse se distingue par son expertise dans les domaines de l’ingénierie, de la haute technologie et des technologies de l’information. Des entreprises suisses sont actives dans des secteurs tels que l’ingénierie mécanique, l’ingénierie électrique, les télécommunications, la robotique et l’intelligence artificielle.
4. Tourisme et hôtellerie : La Suisse est une destination touristique prisée, connue pour ses paysages alpins, ses stations de ski, ses lacs et sa culture. Le secteur du tourisme et de l’hôtellerie joue un rôle essentiel dans l’économie suisse, offrant des emplois dans les hôtels, les restaurants, les agences de voyage et les activités de loisirs.
5. Industries de précision : La Suisse est reconnue pour ses industries de précision, notamment l’horlogerie, la microtechnologie, l’industrie des machines et des instruments de mesure. Ces industries fabriquent des produits hautement spécialisés et de haute qualité, exportés dans le monde entier.
6. Services professionnels : Les services professionnels tels que le conseil en management, les services juridiques, les services comptables et les services de conseil en ingénierie sont également importants en Suisse. De nombreuses entreprises suisses font appel à ces services pour optimiser leurs performances et leur compétitivité.
7. Sciences de la vie et biotechnologie : La Suisse possède une forte présence dans les sciences de la vie et la biotechnologie, avec des entreprises spécialisées dans la recherche médicale, la biotechnologie, la génomique et d’autres domaines connexes.
8. Agriculture et agroalimentaire : L’agriculture, la production alimentaire et l’agroalimentaire sont également des secteurs importants en Suisse, avec une attention particulière accordée à la qualité des produits agricoles, tels que les produits laitiers, les fromages, le chocolat et les vins.

Ces secteurs d’activités jouent un rôle clé dans l’économie suisse. Il convient de noter que la liste n’est pas exhaustive et que d’autres secteurs, tels que les énergies renouvelables, les services aux entreprises et le commerce de détail, ont également une importance significative dans l’économie suisse.

Les métiers qui recrutent le plus en Suisse

voici une liste de dix métiers qui étaient généralement recherchés en Suisse :

1. Développeur de logiciels et ingénieur en informatique : La demande pour les professionnels des technologies de l’information et de la communication (TIC) était élevée, en particulier dans le développement de logiciels, la programmation et l’ingénierie en informatique.
2. Ingénieur en génie mécanique : Les ingénieurs en génie mécanique étaient recherchés pour leur expertise dans la conception, le développement et la maintenance de machines et d’équipements.
3. Personnel de santé et infirmiers : Les médecins, les infirmières et le personnel de santé en général étaient en demande en raison de la nécessité de fournir des soins médicaux et des services de santé à une population vieillissante.
4. Spécialiste en cybersécurité : Avec l’accent croissant sur la protection des données et la sécurité informatique, les spécialistes en cybersécurité étaient recherchés pour aider les entreprises à prévenir et à gérer les cyberattaques.
5. Ingénieur civil : Les ingénieurs civils étaient demandés pour leur expertise dans la conception, la construction et la gestion de projets d’infrastructures, tels que les routes, les ponts et les bâtiments.
6. Spécialiste de la finance et de la comptabilité : Les professionnels de la finance, tels que les analystes financiers et les comptables, étaient recherchés pour leurs compétences dans la gestion financière et l’analyse des données.
7. Consultant en gestion et en stratégie : Les consultants en gestion et en stratégie étaient en demande pour aider les entreprises à développer des stratégies de croissance et à optimiser leur performance opérationnelle.
8. Technicien de laboratoire médical : Les techniciens de laboratoire médical étaient recherchés pour leur rôle dans l’analyse des échantillons et le soutien aux diagnostics médicaux.
9. Ingénieur en énergie renouvelable : Avec l’accent sur la durabilité et les énergies renouvelables, les ingénieurs spécialisés dans les énergies solaire, éolienne et hydraulique étaient recherchés.
10. Spécialiste en marketing digital : Les spécialistes du marketing digital étaient en demande pour leur expertise dans les stratégies de marketing en ligne, les médias sociaux, la publicité numérique et l’analyse des données.

Veuillez noter que la demande pour certains métiers peut évoluer avec le temps en fonction des tendances économiques, des avancées technologiques et d’autres facteurs.

Source de l’article: 123Suisse

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AVS en Suisse : L’AVS en Suisse fait référence à l’Assurance-vieillesse et survivants, qui est le premier pilier du système suisse de sécurité sociale. L’AVS est un régime obligatoire de sécurité sociale qui vise à assurer un revenu de base aux retraités, aux veufs et veuves, aux orphelins et aux personnes invalides.

Le système de l’AVS est financé par des cotisations obligatoires prélevées sur les salaires des travailleurs, ainsi que par des contributions de l’État et des revenus du capital. Les personnes qui travaillent en Suisse, ainsi que celles qui y résident, sont généralement tenues de cotiser à l’AVS.

L’AVS offre une rente de vieillesse qui est versée mensuellement aux personnes ayant atteint l’âge de la retraite (actuellement fixé à 65 ans pour les hommes et pour les femmes). La rente de veuvage est accordée aux conjoints survivants, et des prestations sont également prévues pour les orphelins et les personnes invalides.

Il est essentiel de noter que l’AVS constitue le premier pilier du système de retraite en Suisse, mais pour maintenir un niveau de vie plus élevé à la retraite, de nombreuses personnes souscrivent également à des plans de pension professionnelle (deuxième pilier) et à des plans d’épargne individuelle (troisième pilier).

Il convient de vérifier les informations les plus récentes auprès des autorités compétentes en Suisse, car les détails spécifiques de l’AVS peuvent évoluer avec le temps.

Les frontaliers cotisent-ils?

Frontaliers Suisses : Les frontaliers suisses jouent un rôle essentiel dans l’économie du pays. Ils sont des travailleurs qui résident dans les pays voisins de la Suisse, tels que la France, l’Allemagne, l’Italie ou l’Autriche, mais qui traversent la frontière pour travailler en Suisse.

Combien y a t’il de frontaliers en Suisse?

Selon les données disponibles l’année dernière, il y avait environ 327’000 frontaliers travaillant en Suisse. Cependant, il est essentiel de noter que ce chiffre peut varier au fil du temps en fonction de divers facteurs économiques, politiques et réglementaires, ainsi que des fluctuations du marché du travail. Les chiffres les plus récents peuvent être obtenus auprès des autorités compétentes en Suisse, telles que l’Office fédéral de la statistique. Dans les 327’000, il y avait environ 189’000 frontaliers français travaillant en Suisse. La France est le pays voisin le plus proche de la Suisse et compte donc le plus grand nombre de travailleurs frontaliers dans le pays. Ces frontaliers français travaillent principalement dans les régions frontalières comme le canton de Genève, le canton de Vaud, le canton du Valais et d’autres zones limitrophes.

Quel rôle jouent les frontaliers?

Le principal avantage pour la Suisse d’employer des frontaliers est lié à la disponibilité de main-d’œuvre. Ces travailleurs contribuent à combler les besoins en personnel dans certains secteurs où il peut y avoir une pénurie de main-d’œuvre qualifiée en Suisse. Les frontaliers peuvent occuper des emplois dans divers domaines, tels que l’industrie, les services, la santé, la construction, l’hôtellerie et la restauration.

Les frontaliers suisses apportent également des avantages économiques aux régions frontalières. Ils dépensent une partie de leur salaire dans les commerces et services locaux, ce qui stimule l’économie régionale. De plus, ils contribuent aux recettes fiscales des pays voisins, ce qui peut avoir un impact positif sur les infrastructures et les services publics de ces régions.

Cependant, l’emploi de frontaliers suisses n’est pas sans controverses. Certains groupes estiment que les frontaliers prennent des emplois qui pourraient être occupés par des résidents suisses, ce qui peut créer une concurrence sur le marché du travail. Il y a également des préoccupations concernant les effets sur les salaires et les conditions de travail, bien que cela puisse varier selon les secteurs et les régions.

Sont-ils discriminées?

Il est essentiel de noter que chaque situation individuelle peut être différente et qu’il peut y avoir des expériences variées parmi les frontaliers suisses. Cependant, il existe des cas où certains frontaliers ont pu faire face à des situations de discrimination. Ces formes de discrimination peuvent inclure des préjugés basés sur la nationalité, la langue, l’origine ethnique ou d’autres facteurs liés au statut de frontalier.

Conditions pour travailler en Suisse : Globalement, la situation de l’emploi en Suisse est assez bonne. Le taux de chômage y est généralement assez faible et se situe autour de 3,0% (selon les chiffres de l’Office fédéral de la statistique en septembre).

Les conditions pour travailler en Suisse

Les conditions pour travailler en Suisse dépendent de votre nationalité, de votre domaine professionnel et de la durée de votre séjour en Suisse.

1. Nationalité : Si vous êtes ressortissant d’un État membre de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen (EEE), vous avez le droit de travailler en Suisse sans permis de travail. Si vous êtes ressortissant d’un autre pays, vous aurez besoin d’un permis de travail pour travailler en Suisse.
2. Domaine professionnel : Pour travailler dans certains domaines tels que la médecine, l’enseignement ou la finance, vous pouvez avoir besoin de certifications et de qualifications spécifiques. Les exigences varient d’un domaine à l’autre. Lire notre article
3. Durée de séjour : Si vous travaillez en Suisse pour une durée de moins de 90 jours, vous aurez besoin d’un permis de séjour de courte durée. Pour une durée de plus de 90 jours, vous aurez besoin d’un permis de séjour à long terme. Les exigences pour l’obtention de ces permis peuvent varier en fonction de votre nationalité, de votre domaine professionnel et de votre situation personnelle. Lire notre article

En général, les conditions pour travailler en Suisse incluent :

• Avoir une offre d’emploi valable en Suisse
• Posséder les qualifications et compétences requises pour le poste
• Avoir une assurance maladie valable en Suisse
• Obtenir un permis de travail (si nécessaire) et/ou un permis de séjour (pour une durée de plus de 90 jours)
• Respecter les lois suisses sur le travail et les conditions de travail

Il est essentiel de noter que les conditions pour travailler en Suisse peuvent être complexes et qu’il est conseillé de contacter les autorités compétentes (telles que l’Office cantonal de la migration ou l’ambassade suisse dans votre pays) pour obtenir des informations plus détaillées.

Source de l’article: 123Suisse – Cliquez ici pour lire l’article complet

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Rémunération en Suisse : En Suisse, il existe de nombreux métiers qui peuvent rémunérer plus de 10’000 francs suisses par mois, en fonction de l’expérience et de la qualification du candidat.

Le salaire moyen en Suisse varie considérablement en fonction du secteur d’activité, de l’expérience professionnelle, de la région, de la qualification et du poste occupé. Selon les données de l’Office fédéral de la statistique (OFS) pour l’année 2020, le salaire moyen en Suisse était d’environ 6’854 francs suisses brut par mois pour un emploi à plein temps.

Cependant, il est essentiel de noter que les salaires en Suisse sont généralement plus élevés que dans de nombreux autres pays, en raison du coût de la vie élevé et des niveaux de compétitivité de l’économie suisse. Les salaires les plus élevés sont généralement dans les secteurs de la finance, de la technologie, de la santé et de l’industrie.

Il convient également de noter que la Suisse a une forte tradition de négociation collective et que les salaires sont souvent déterminés par des conventions collectives de travail, qui peuvent varier considérablement d’un secteur à l’autre.

Quels sont les métiers à plus de 10’000 CHF / mois en Suisse?

Travailler dans le secteur du luxe en Suisse : La Suisse peut offrir de nombreuses opportunités intéressantes dans l’industrie de la mode et du luxe.

La Suisse est connue pour être une destination prisée pour les marques de luxe, avec de nombreuses entreprises renommées ayant leur siège social dans le pays.

Les avantages de travailler en Suisse pour une marque de luxe incluent un niveau de vie élevé, des salaires compétitifs, des conditions de travail favorables, une stabilité politique et économique, ainsi qu’un environnement multilingue et cosmopolite. La Suisse a également un système de santé de qualité, une excellente infrastructure et des transports publics efficaces.

Cependant, il est essentiel de noter que la Suisse a un coût de la vie élevé, en particulier dans les grandes villes comme Genève et Zurich. Les exigences linguistiques peuvent également être élevées, avec une forte demande pour les compétences en allemand, en français et en anglais.

En fin de compte, travailler en Suisse pour une marque de luxe peut être une excellente opportunité pour ceux qui cherchent à progresser dans leur carrière et à être exposés à une culture d’entreprise unique dans un environnement de travail de haute qualité. Cela dit, il est essentiel de bien réfléchir aux avantages et inconvénients avant de prendre une décision.

Les marques les plus porteuses?

Revenus en Suisse : En France, l'Observatoire des inégalités a fixé un seuil de richesse pour son pays à 3'673 euros. Et en Suisse, quel serait ce montant? Et sur quels critères le déterminer? Giovanni Ferro-Luzzi, économiste à l'université et à la Haute école de gestion de Genève, répond à la question.

"C'est une question un peu provocante que pose cet observatoire français. D'habitude, quand on s'intéresse aux distributions de revenus, on regarde plutôt la part du gâteau des 1% les plus riches par exemple ou le seuil de pauvreté", note le professeur. "La même logique pour la Suisse, consisterait à doubler le revenu disponible équivalent médian; on obtient alors environ 7'800 francs par mois pour une personne seule."