Genève veut développer des drones ambulances

Genève veut développer des drones ambulances

Drone Suisse : Le canton de Genève veut développer des drones pour transporter les patients. Ils pourraient transporter jusqu’à 10’000 d’entre eux entre les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) et l’hôpital des Trois-Chênes.
Drone Suisse

Le canton de Genève souhaite développer des drones pour le transport des patients. Le Conseil d’État a décidé de poursuivre le développement d’un prototype, après qu’une étude de faisabilité ait démontré la pertinence du projet. Le prototype certifié de drone ambulance de haute charge pèsera deux tonnes et sera destiné au transport non urgent de patients, en particulier entre les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) et l’hôpital gériatrique des Trois-Chênes. Les deux établissement sont séparés d’environ six kilomètres à vol d’oiseau.

Selon Chrystelle Charat, directrice de l’unité développement et prospective chez Etat de Genève, le drone pourrait transporter jusqu’à 10’000 patients par an entre les hôpitaux, soit un tiers du transport annuel. Selon elle, un prototype pourrait planer dans les airs dès 2025. Il est également prévu d’évaluer la pertinence d’un futur développement d’un drone ambulance reliant les hôpitaux universitaires cantonaux (HUG et CHUV).

Le projet est basé sur une étude de faisabilité sur les drones taxis dans le cadre de l’initiative de mobilité urbaine aérienne (UAM Initiative) du Partenariat européen d’innovation sur les villes et collectivités intelligentes (EIP-SCC). Elle a été menée en partenariat avec l’Office fédéral de l’aviation civile et Skyguide.

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Portable au volant: la mise en garde des gendarmes aux frontaliers

Portable au volant: la mise en garde des gendarmes aux frontaliers

Déplacement frontaliers : Un important dispositif de gendarmerie a été déployé sur la RN 57, entre Jougne et Besançon. Les militaires ont relevé de nombreuses infractions dont un tiers pour usage du téléphone au volant, principalement des Français de retour de Suisse.
Déplacement frontaliers

C’est un triste constat dont les gendarmes se seraient bien passés. Lors de cette grosse opération menée cette semaine sur la RN 57 de Besançon à Jougne, les militaires ont relevé 55 infractions. Et parmi ces manquements au code de la route, ils ont verbalisé de nombreuses personnes pour usage du téléphone au volant. Un tiers des verbalisations. Cet usage, ils l’ont constaté entre la Suisse et la France, en fin d’après-midi.

19 infractions pour usage du téléphone

C’est un phénomène « inquiétant » pour les forces de l’ordre, ces personnes circulant sur un axe aussi fréquenté, le portable à la main. Sur le secteur de Jougne, ils ont relevé 19 usages du téléphone portable.

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Retrouvez toute l’offre suisse de mobilité partagée

Retrouvez toute l’offre suisse de mobilité partagée

Sharemobility : L’OFEN a lancé Sharedmobility.ch, une plateforme qui permet de connaître en temps réel les véhicules disponibles en Suisse sur les sites de mobilité partagée.
sharemobility

Les Suisses peuvent désormais savoir depuis une seule plateforme si un véhicule partagé est disponible à proximité. Gérée par l’Office fédéral de l’énergie (OFEN), le programme SuisseEnergie et divers prestataires de mobilité partagée, l’application interactive www.sharedmobility.ch affiche en temps réel les disponibilités. Qu’il s’agisse d’une voiture, d’un vélo, d’un scooter ou d’une trottinette électrique.

La plateforme est interconnectée aux applications des fournisseurs d’offres de partage. Elle est neutre vis-à-vis des prestataires, qui peuvent en outre intégrer gratuitement ces données dans leurs propres systèmes et applications. Les entreprises de transports publics peuvent notamment s’en servir dans leurs calculateurs d’itinéraire multimodal, souligne l’OFEN dans son communiqué.

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Rouler sans vignette coûte 200 francs..

Rouler sans vignette coûte 200 francs..

Vignette Suisse : Les Français l’appellent la vignette suisse, les Suisses la vignette autoroutière. Indispensable pour rouler sur les voies rapides et les autoroutes en Suisse, cette vignette s’achète tous les ans.
Vignette Suisse

La vignette suisse annuelle coûte 40 francs suisses et elle est obligatoire pour emprunter les autoroutes suisses (c’est-à-dire pour circuler en Suisse tant il est difficile d’éviter les portions de routes « payantes » pour les conducteurs étrangers lors des grands déplacements).

La vignette suisse annuelle est en réalité valable 14 mois avec l’année civile de sa validité, mais également pour le mois de décembre de l’année d’avant et le mois de janvier de l’année d’après. A partir de 2022, la Suisse propose également une vignette autoroutière électronique mais la confédération a choisit de laisser le choix à l’utilisateur.

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Quel est le prix du stationnement en Suisse?

Quel est le prix du stationnement en Suisse?

Parking en Suisse : La somme à débourser pour se garer varie fortement d’une ville à l’autre. L’écart entre la carte de stationnement permanent la moins chère et la plus chère est de plus de 1’000 francs, selon Comparis, qui note que la Suisse romande est en moyenne moins onéreuse.
Parking en Suisse

Ce sont les habitants de Wetzikon (ZH) qui doivent débourser le plus pour garer leur véhicule: 1’080 francs par année. A l’inverse, les habitants de Riehen (BS) ne paient que 8 francs pour une carte annuelle, détaille Comparis dans un communiqué. Sa comparaison porte sur les 40 plus grandes villes de Suisse.

En Suisse romande, c’est à Lausanne qu’il faut débourser le plus (500 francs par année), suivi par Fribourg (396 francs) et Renens (VD) (360 francs). A l’inverse, c’est à La Chaux-de-Fonds (NE) qu’il est le plus avantageux de se garer. Les riverains ne doivent s’acquitter que d’un émolument administratif de 20 francs. Les citoyens avaient accepté à une large majorité en 2011 que le parking résidentiel soit gratuit, rappelle Comparis.

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Suisse: Les piétons ont-ils la priorité?

Suisse: Les piétons ont-ils la priorité?

Piéton Suisse : Les piétons ont la priorité non seulement lorsqu’ils se trouvent déjà sur le passage de sécurité, mais aussi lorsqu’ils attendent sur le trottoir et montrent clairement leur intention de traverser.
Piéton Suisse

Afin de répondre à cette exigence, tout conducteur doit réduire sa vitesse à temps. Le piéton ne peut toutefois pas forcer la priorité si le véhicule est si près du passage qu’il n’est plus en mesure de s’arrêter (art. 33 et 49, al. 2 de la loi fédérale sur la circulation routière, LCR, et art. 6 et 47, al. 2 de l’ordonnance sur les règles de la circulation routière, OCR). La distance n’est pas définie, mais la voiture qui s’approche doit pouvoir s’arrêter à temps, sans effectuer de brusques freinages ou des manœuvres d’évitement.

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Suisse: Stupéfiants au volant. Quelles sont les sanctions?

Suisse: Stupéfiants au volant. Quelles sont les sanctions?

Cannabis en Suisse : Les drogues et les stupéfiants altèrent la capacité de conduire. En Suisse, le tétrahydrocannabinol (cannabis), la morphine libre (héroïne / morphine), la cocaïne, l’amphétamine, la métamphétamine et les drogues de synthèse (p. ex. ecstasy) sont réputés être en principe incompatibles avec la circulation routière.
Cannabis en Suisse

Une personne est réputée incapable de conduire lorsqu’il est prouvé que son sang contient l’une de ces substances (art. 2, al. 2 et 2bis, de l’ordonnance sur les règles de la circulation routière, OCR, en relation avec les instructions de l’OFROU du 2 août 2016 concernant la constatation de l’incapacité de conduire dans la circulation routière).

Principe des trois piliers

Lorsqu’une personne est à même de prouver qu’elle consomme une ou plusieurs desdites substances sur prescription médicale ou qu’il s’agit d’autres drogues, on demande l’avis d’un expert (art. 16 de l’ordonnance sur le contrôle de la circulation routière). L’expert prend en compte les trois piliers suivants:

  • constatations de la police;
  • résultats de l’examen médical;
  • résultats de l’examen chimique et toxicologique.

Conséquences juridiques

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Suisse: Alcool au volant. Quelles sont les sanctions?

Suisse: Alcool au volant. Quelles sont les sanctions?

Alcool et conduite en Suisse : Est tenu de s’abstenir de conduire quiconque n’en est pas capable parce qu’il est sous l’effet de l’alcool.

L’alcool réduit la capacité de conduire. La sécurité routière se trouve d’autant plus menacée qu’il est consommé en même temps que des médicaments ou des drogues. C’est pourquoi le législateur a fixé des taux limites d’alcool en fonction des différents groupes de conducteurs.

Alcool et conduite en Suisse

Conséquences juridiques

Même lorsqu’il n’y a pas de suspicion concrète, la police est en droit de faire subir un alcootest aux conducteurs et, en cas d’accident, aux usagers de la route impliqués (art. 55, al. 1, de la loi fédérale sur la circulation routière, LCR). Si ce test, ou le cas échéant un test sanguin, révèle que le conducteur est incapable de conduire parce qu’il est sous l’effet de l’alcool, les sanctions suivantes peuvent être appliquées:

  • interdiction de reprendre la route (p. ex. lorsque le taux d’alcool est ≥ 0,25 mg/l d’air expiré ou lorsque le taux d’alcool dans le sang est ≥ 0,5‰;
  • retrait immédiat du permis de conduire lorsque le conducteur semble manifestement en état d’ébriété ou présente un taux d’alcool de ≥ 0,4 mg/l (correspond à un taux d’alcool dans le sang de ≥ 0,8‰);
  • retrait du permis de conduire et autres sanctions;
  • conséquences au niveau du droit des assurances (p. ex. réduction des prestations de l’assurance-accidents).

Jurisprudence

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de décisions de justice illustrant le doute quant à l’aptitude à la conduite d’une personne en raison de sa consommation d’alcool. Le service juridique du BPA a résumé ces arrêts et les a analysés dans une optique de prévention. Vous pouvez également consulter le texte original de toutes ces décisions sur le site Internet du Tribunal fédéral.

  • Retrait du permis de conduire à titre préventif en raison de doutes sérieux quant à l’aptitude à la conduite d’une personne

Une décision de retrait du permis de conduire à titre préventif suppose l’existence de doutes sérieux quant à l’aptitude à la conduite de l’intéressé, en particulier en présence d’indices concrets d’une dépendance à l’alcool (arrêt du Tribunal fédéral 1C_531/2016 du 22 février 2017). Un retrait de permis de conduire à titre préventif vise à assurer la sécurité routière. L’art. 30 de l’ordonnance réglant l’admission à la circulation routière (OAC) en constitue la base juridique.

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Suisse: Quelles sont les sanctions en cas d’excès de vitesse?

Quelles sont les sanctions en cas d’excès de vitesse?

Amende excès de vitesse Suisse : En matière de répression des infractions relatives à la circulation routière, le droit suisse repose sur un système dual. D’une part, une peine est prononcée dans le cadre d’une procédure pénale et, d’autre part, le conducteur est sanctionné par un avertissement ou un retrait de permis de conduire dans le cadre d’une procédure administrative, à des fins de redressement ou de sûreté.
Amende excès de vitesse Suisse

Comprendre les termes amende d’ordre, amendes et peine pécuniaire:

  • Amendes d’ordre: les infractions à la loi fédérale sur la circulation (LCR) figurant sur la liste des amendes Suisses peuvent être sanctionnées par des amendes délivrées par la police (max. CHF 300) dans le cadre d’une procédure simplifiée. L’amende a force de chose jugée lorsqu’elle est payée, ce qui doit avoir lieu dans les 30 jours, et aucun frais supplémentaire ne pourra être prélevé. Si l’amende est contestée, si son paiement n’est pas effectué dans le délai imparti ou n’est pas effectué du tout, la procédure pénale ordinaire est engagée (cf. paragraphe suivant).

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Est-il permis d’utiliser son téléphone au volant?

Suisse: Est-il permis d’utiliser son téléphone au volant?

Téléphoner en conduisant en Suisse : L’utilisation du téléphone au volant exige la prudence. La distraction conduit rapidement à un accident. Mais même sans accident, le fait de téléphoner, écrire un s123Suisse ou un Whatapp sont passibles d’amendes élevées, d’un retrait de permis ou d’une peine privative de liberté.
Téléphoner en conduisant en Suisse

Conséquences juridiques possibles

L’utilisation d’un téléphone sans dispositif mains libres pendant la conduite est punie d’une amende d’ordre de CHF 100 (annexe 1, chiffre 311 de l’ordonnance sur les amendes d’ordre, OAO). Selon le cas, téléphoner au volant ou utiliser des systèmes d’information ou de communication peut mener au retrait du permis de conduire, à de fortes amendes mais aussi à une peine privative de liberté. Téléphoner au volant sans dispositif mains libres a – en cas d’accident-déjà donné lieu à des réductions de prestations dans l’assurance-accidents pour cause de négligence grave (art. 37, al. 2 de la loi sur l’assurance-accidents, LAA).

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