La Suisse “meilleur pays au monde”, selon un classement américain

La Suisse “meilleur pays au monde”, selon un classement américain

Classement Suisse : La Suisse arrive pour la première fois en tête du classement américain désignant le “meilleur pays du monde”, devant le Canada et le Royaume-Uni. Elle est aussi sur le podium des pays les mieux adaptés aux retraités.
Classement Suisse

Le classement de U.S News & World Report met en avant des pays jouissant d’un certain degré de paix, de tranquillité et de prospérité.

L’Allemagne, en tête en 2016, est quatrième, à la suite des récentes attaques terroristes et des tensions politiques liées à la crise migratoire.

Les Etats-Unis arrivent en 7ème position. Près de 75% des sondés ont notamment dit qu’ils avaient “perdu un certain degré de respect” pour le pays après le mandat de Donald Trump.

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Trois villes suisses dans le top dix en termes de qualité de vie

Trois villes suisses dans le top dix en termes de qualité de vie

Qualité de vie en Suisse : Des villes européennes, Vienne en tête, se partagent la majorité des premières places du classement des métropoles en fonction de leur qualité de vie, selon une étude diffusée mardi. Le cités suisses sont bien notées.
Qualité de vie en Suisse

Pour établir sa hiérarchie, le cabinet Mercer prend en compte 39 critères allant de la criminalité à la gestion des déchets en passant par les transports en commun ou le climat.

La capitale autrichienne figure tout en haut de cette liste, qui comprend au total 231 villes, pour la huitième année consécutive.

Viennent ensuite Zurich, Auckland (Nouvelle-Zélande) et Munich, puis Vancouver, Düsseldorf, Francfort, Genève, Copenhague et Bâle qui est à égalité avec Sydney. Berne pointe à la quatorzième place.

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Zurich, Genève, Bâle ou Berne, ces villes suisses où il fait bon vivre

Zurich, Genève, Bâle ou Berne, ces villes suisses où il fait bon vivre

Vivre en Suisse : Zurich (2e), Genève (9e), Bâle (10e) et Berne (14e) font toujours partie des villes offrant la meilleure qualité de vie dans un classement annuel dominé par Vienne et où Caracas a souffert de la crise actuelle au Venezuela.
Vivre en Suisse

Vienne reste pour la 10e année consécutive la ville à privilégier pour s’y installer, selon le dernier classement du cabinet américain Mercer, dans lequel les villes européennes se taillent la part du lion.

Derrière Zurich au 2e rang suivent à égalité Munich, en Allemagne, Vancouver, au Canada, et Auckland, en Nouvelle-Zélande. Les villes allemandes de Düsseldorf et Francfort sont respectivement 6e et 7e, devant la danoise Copenhague, puis Genève et Bâle.

Pour établir sa hiérarchie, Mercer prend en compte des dizaines de critères allant de la criminalité à la gestion des déchets en passant par les transports en commun, l’approvisionnement en électricité, les services de téléphonie et le climat. Cette étude annuelle est utilisée pour calculer la rémunération des expatriés partant en mission à l’international.

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Les frontaliers génèrent 18% du PIB romand

Les frontaliers génèrent 18% du PIB romand

Frontalier Suisse romande : Près d’un cinquième de la valeur créée en Suisse romande provient directement du travail des frontaliers ou des pendulaires intercantonaux, indique le rapport sur le produit intérieur brut (PIB) romand. Les cantons principaux sont Genève et Vaud.
Frontalier Suisse romande

La contribution des ces travailleurs mobiles à la création de valeur diffère cependant d’un canton à l’autre, note un rapport dévoilé par l’institut CREA, les six banques cantonales romandes et le Forum des 100 de L’Hebdo.

Elle est ainsi supérieure à la moyenne romande dans les cantons de Genève (30%), de Neuchâtel (21%) et du Jura (21%). A l’inverse, elle est plus basse dans les cantons de Vaud (16%), de Fribourg (11%) et du Valais (5%).

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L’attrait de la Suisse provoque une pénurie de main d’œuvre en France

L’attrait de la Suisse provoque une pénurie de main d’œuvre en France

Emploi frontalier Genève: Dans certaines zones proches de la frontière Suisse, près d’un travailleur sur deux est employé en Suisse. Cette situation entraîne un manque de main d’œuvre problématique pour les entreprises françaises.
Emploi frontalier Genève

Du cadre à l’ouvrier en passant par le serveur ou l’infirmière, la Suisse compte environ 177’000 travailleurs frontaliers venant de France. Cela représente plus de la moitié des 314’000 frontaliers que compte le pays. C’est dans le canton de Genève que ces frontaliers sont les plus nombreux: 85’000. Vaud en compte près de 32’000, Neuchâtel près de 13’000, le Jura 8’500 et le Valais 1’600.

44% des actifs du Genevois travaillent en Suisse

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Suisse: La demande en informaticiens est plus importante que jamais

La demande en informaticiens est plus importante que jamais

Recrutement informaticiens en Suisse : Selon le dernier Swiss Job Market Index publié par Adecco, la demande en spécialistes de l’informatique en Suisse est supérieure au précédent record de 2018.
Recrutement informaticiens en Suisse

En Suisse, la crise est déjà de l’histoire ancienne sur le marché de l’emploi IT. Selon le dernier Swiss Job Market Index publié depuis 2016 par Adecco en partenariat avec l’Université de Zurich, la demande dans les métiers de l’informatique est «plus importante que jamais». Par rapport à la même période l’année dernière, le nombre d’annonces de jobs d’informaticiens a bondi de 55%. La demande en programmeurs, webmasters, ingénieurs système ou encore en responsables de projets IT, notamment, est forte.

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Une initiative veut donner 7500 francs à tous les Suisses

Une initiative veut donner 7’500 francs à tous les Suisses

Vers un revenu universel en suisse? Des citoyens saint-gallois veulent que la BNS verse ce montant unique à toute personne de nationalité suisse.
Revenu universel en Suisse

Toute personne de nationalité suisse devrait se voir attribuer un montant unique de 7’500 francs, selon une initiative populaire déposée par des citoyens saint-gallois. La Chancellerie fédérale a publié le texte dans la Feuille fédérale. La récolte des signatures peut commencer.

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La Suisse, la destination favorite des salariés français

La Suisse, la destination favorite des salariés français

Français en Suisse: Chaque année, les salariés français sont attirés par le bien-être et les hauts salaires en Suisses. Le taux de chômage des Helvètes est l’un des plus bas d’Europe et les salaires sont deux à trois fois plus élevés qu’en France.
Francais en Suisse

Une économie qui inspire confiance

Les salaires avantageux de la Suisse, incitent les travailleurs français à s’y rendre pour leur carrière professionnelle. Selon les études économiques de l’OCDE, la Suisse a le troisième meilleur PIB par habitant au monde. Cela est dû à des taux d’emploi et des niveaux de productivité élevés. “Une caissière ou un plongeur peuvent gagner jusqu’à 3′000 francs suisses (CHF) par mois, soit 2′823 euros”.

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À Genève, un emploi sur trois est lié aux multinationales

À Genève, un emploi sur trois est lié aux multinationales

Multinationale Genève : Le canton dénombre près de 2’000 entreprises multinationales, soit seulement 5% du nombre total de sociétés. Mais ces dernières concentrent près de 100’000 emplois.
Démographie Suisse

À la fin de l’année dernière, Genève hébergeait 1’895 entreprises multinationales, annonce l’Office cantonal de la statistique. Soit seulement 5% du nombre total d’entreprises sises dans le canton. Si leur nombre est peu élevé, ce n’est pas le cas concernant le nombre d’emplois «générés» par ce secteur, à savoir un peu plus de 95’000 emplois (en équivalent plein temps). En clair: quasi un emploi sur trois (30%) est lié à une entreprise multinationale.

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Les frontaliers sont-ils un danger pour la Suisse?

Les frontaliers sont-ils un danger pour la Suisse?

Frontalier Suisse : Le débat s’impose à nouveau en Suisse. La Bourgogne Franche-Comté, qui demeure la 3e  région française de par leur nombre, en compte 36’200, c’est 40 % de plus qu’en 2011.
Frontalier Suisse

Ça y est, l’affaire est relancée. quelques années après que « l’initiative contre l’immigration de masse » fut approuvée en Suisse, par une courte majorité, l’extrême droite relance la machine, jugeant qu’il y a eu tromperie. À l’époque, le texte devait imposer des quotas, mais l’Union européenne, premier partenaire commercial de la Confédération helvétique, s’était alors refusé à renégocier les accords de libre circulation des personnes. Résultat : on privilégia des mesures de préférence nationale , comme le recours aux travailleurs autochtones en fonction des fluctuations du chômage.

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